Venise la Magnifique
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 Silas - Loup des bois ~

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Silas
Pute de luxe
Loup des bois
Pute de luxeLoup des bois
Silas

Messages : 22


Silas - Loup des bois ~ Vide
MessageSujet: Silas - Loup des bois ~   Silas - Loup des bois ~ EmptyLun 5 Avr - 18:08

~o~ Feuille d'Identité ~o~

Nom : ne s’en souvient pas
Prénom : Silas « forêt »
Age : environ 18 ans
Race : lycan
Pays d'origine : Italie
Rang social : pauvre
Profession : gigolo



~o~ Physique ~o~

Allure : petit, fin, de longs cheveux blond cendrés volant au vent… Silas est l’archétype de l’envie, du désir même ! Combien d’hommes sont-ils tombés dans ses filets… ? Il ne les comptes plus… Même ceux qui n’avaient jamais touché d’autres hommes se sont laissés avoir par son visage angélique, ses grands yeux couleur de l’or et ses cheveux qu’il lui arrive de relever, montrant ainsi sa fine nuque prompte aux baisers… Son corps gracile et agile, souple et vibrant en a fait tomber plus d’un. Blanc, nacré, comme la neige qui tombe parfois sur la ville, mais aussi chaude que cette dernière est froide… Aussi douce que la neige est piquante. Aussi gouteuse que la neige est fade… Silas se sait désirer, désirable, et il en joue pour mieux accéder à son propre désir.
Goûts vestimentaires : Silas a des goûts de luxe. Même si sa profession exige de lui qu’il soit bien habillé, attirant pour le client, il a toujours aimé les beaux vêtements. Colorés et un peu tape à l’œil certes, mais infiniment bien coupés, dans des textiles tous plus doux, soyeux, légers les un que les autres ! En hiver, il arbore un long manteau de fourrure et pas grand-chose dessous… Tuer ses semblables animaliers ne l’a jamais rebuté… Il aime trop se repaitre dans la douce chaleur de leur peau pour refuser de porter pareilles merveilles ! L’été, le très court est de rigueur… Petite culotte plus courte que mi cuisses, couvant à peine ses fesses, colorée, sertie de quelques beau cailloux pour attirer l’attention aux endroits stratégiques, fine chemise plus ou moins transparente, savamment ouverte sur son torse imberbe, laissant entrevoir juste ce qu’il faut…
Particularités : si ce n’est que ses cheveux sont naturellement couleur nacre et ses yeux dorés, Silas a ceci près que ses canines sont un poils trop prononcées sous sa forme humaine… Il lui arrive de mal se contrôler lors d’un orgasme trop violent, trop pur, et alors ses oreilles et sa queue de loup apparaissent soudainement, comme pousse un champignon… ! Seuls ses clients démon, lycans ou alchimistes ne peuvent les voir, bien entendu…
Pour les lycans : Silas est un loup entièrement blanc. Pas très grand, tout comme son homologue humain, il est cependant très agile et rapide. Ses grands yeux ambrés sont cernés de noirs, ce qui donne une certaine profondeur à son regard. Il a la truffe noire, chaude et toujours humide. Ses crocs sont aussi aiguisés qu’une lame de rasoir.

Silas - Loup des bois ~ Silas210



~o~ Psychologie ~o~

Caractère : Aguicheur, sensuel, coquin, obscène… Silas sait absolument jouer tout les rôles qu’on lui demandera d’endosser, à part être le dominant mais ça, ça se voit dès le premier regard. C’est un garçon dépourvu de sens commun, on ne lui a jamais dit ce qui était bien, ce qui était mal… Ce qui était dangereux, mauvais pour sa santé ou au contraire très bon à prendre lorsqu’on a un petit rhume, mal à la gorge… Avoir grandit seul, sans adulte pour l’éduquer un tant soit peu, on apprend vite à survivre. Silas est plutôt débrouillard, plus ou moins bricoleur… Il sait fuir les conflits mais pas forcément éviter d’en créer. Sinon, il est doux, plutôt calme, gentil avec tous, il essayera toujours de calmer le jeu. Il sait se remettre en question, bien que ses valeurs et son sens moral ne soit pas vraiment dans le politiquement correct… Il ne sait pas dire non et ne sait pas non plus se mettre en colère. En faite, il est très rare qu’il soit mécontent, il aime la vie qu’il mène et n’a donc pas de raisons de se mettre à grogner comme il sait pourtant si bien le faire. Au premier abord, il fait figure de jeune pucelle qui ne connaît rien de la vie et rit de tout. Dans un certain sens, ce n’est pas faux… Bien qu’il ne soit plus vierge et depuis longtemps. Il est vraiment de très bonne compagnie, si on aime les jouvenceaux ingénus… Il n’en est pas moins malicieux et intelligent, à sa manière… Disons que, il n’est pas très cultivé, il ne sait d’ailleurs ni lire ni écrire, mais il a un petit côté curieux et lorsque l’occasion se présente, ça ne le gène pas du tout d’écouter ses amants parler de leur vie, de leur travail, de choses qu’il ne connaît même pas… Il ne va pas forcément tout retenir mais il aime assez les écouter parler. On pourrait le qualifier de simplet mais ça serait faux. Il a plutôt l’esprit d’un garçon de la rue, qui a dut grandir vite, qui a murit trop vite en passant outre certaines étapes importantes… Il y a des choses qu’il ne connaît pas, des sentiments qu’il n’a jamais éprouvés. Mais il a quand même un temps soit peu la tête sur les épaules : il ne croit que ce qu’il voit. Silas, c’est plus le petit papillon multicolore qui va se poser sur une fleur, belle ou non, et qui va tranquillement la butiner avant d’aller se poser ailleurs…
Aime : Silas aime tout en ce monde mais ce qu’il préfère par-dessus tout est de se faire baiser à sec… Il a un certain penchant masochiste… En deuxième lieu, les immenses lits à draps de soie, auxquels il a parfois le droit selon son client, sont pour lui le summum de la luxure dans les deux sens du terme. Il aime s’y repaitre, y dormir où y faire l’amour dans toutes les positions !
Aime pas : là seule chose que Silas redoute en ce monde ça serait de se faire enfermer. Dans une cage, dans un prison, ou même dans une luxueuse chambre… Il aime trop sa liberté pour pouvoir supporter d’être un jour enfermé pour une quelconque raison.
Tics ou petites manies : il remet systématiquement ses cheveux derrière ses oreilles ! Même lorsqu’ils y sont déjà, ou même lorsqu’il les a attachés, il y passe sa main sans même s’en rendre compte…
Secret qu'il dissimule : sa vie entière est un secret, pour les autres comme pour lui-même.

~o~ Histoire ~o~

Un bébé pleure au loin.

- Chuuuut, chuuut, arrête de pleurer je t’en supplie !

Mais le tout petit enfant continue de sangloter et la femme qui le serre contre son torse continue de courir, s’enfonçant de plus en plus dans la forêt sombre et profonde.
Au loin, on aperçoit quelques lueurs. Ce sont les rayons du soleil qui filtrent à travers les arbres… Ils sont presque arrivés. Loin derrière eux, les aboiements semblent se rapprocher de plus en plus mais voir ces lueurs donne un regain d’énergie au corps de la pauvre femme qui s’élance toujours plus vite en direction de l’orée de la forêt. Ca y est, ils sont sortis… Ils sont sortis et la femme, épuisée, pose son fragile fardeau à l’ombre d’un bosquet.
Entre les langes immaculés, on peut apercevoir une bouille de bébé âgé d’à peine quelques jours. C’est un très beau bébé à ceci près que la touffe de cheveux sur son crâne est argentée et que de part et d’autre de son crâne, se sont deux grandes oreilles poilue et triangulaires, de cette même couleur grise qui ont prit la place des oreilles qu’arborent habituellement tout humain qui se respecte…
Encore apeurée, la jeune femme s’était un peu écartée de son bébé qui avait soudainement arrêté de pleurée. Haletante, elle porta une main à son cœur, cherchant son souffle… Mais le répit ne fut que de courte durée, déjà, les aboiements étaient là et on entendait en plus le bruit que font les sabots d’un cheval au galop. En réalité, il y en avait trois, montés par trois hommes aux allures de soldats en quête. La jeune femme ne put éviter les huit chiens qui lui sautèrent à la gorge.
Son sang gicla sur les plantes avoisinantes, tapissant l’herbe d’un magnifique liquide vermeille… Les trois hommes arrêtèrent leurs chevaux et l’un d’entre eux siffla les chiens. Les molosses laissèrent donc la femme. Morte, gisant dans son sang… L’un des soldats mit pied à terre et s’approcha de la femme. Il eut beau fouiller dans les replis de ses habits ensanglantés, il ne put trouver la véritable chose qui était le but de toute cette mascarade. Dépité, il donna un coup dans le corps sans vie et remonta sur son cheval.
Laissant là la femme, il repartit avec ses acolytes et les chiens qui s’étaient remis à aboyer.

- De toute façon, un bébé ne peut survivre seul… Même s’il est à moitié loup-garou…

Le bébé à moitié loup resta donc tapi dans le fourré sans qu’un seul des soldats n’ait l’idée d’y jeter un œil. Incapable de comprendre ce qu’il venait de se passer, bercé par les remous du vent et le chant des oiseaux, il s’endormit. Il se réveilla en sursaut et se remit à pleurer alors qu’on le soulevait de son cocon de verdure.

- Regarde Alberto, c’est un bébé avec des oreilles de loup !
- Fais voir !


Deux enfants venaient d’apparaître dans le champ de vision du bébé, deux gosses des rues, vêtus de haillons et qui ne devaient pas avoir plus qu’un dizaine d’année… Les deux enfants fixèrent l’étrange bébé dans ses langes jusqu’à ce que celui qui se prénommait Alberto prenne la parole.

- Tu crois que c’était sa mère ?
fit-il tout en jetant un regard apeuré vers la femme qui gisait toujours dans son sang
- Je crois oui… On peut pas le laisser tout seul ici !
- Non, tu a raison… Mais il fait un peu peur avec ses oreilles quand même…
- Oui mais c’est un bébé, nous qui vivons dans les rues on sait que c’est dur ! Alors on n’a pas le droit de le laisser ici…
- Je comprends… Emmenons-le à la maison !

C’est ainsi que, ni une ni deux, le petit louveteau se retrouva embarqué par les deux gamins. Arrivé à l’endroit qu’ils appelaient la maison mais qui n’était en faite qu’une cave miteuse, couverte d’immondices et puant le rat mort, il fut accueillit par une dizaine d’autres enfants. Des garçons et des filles, aucun ne semblaient dépasser les 15ans.
Le plus vieux d’entre eux, une fille blonde avait prit des mains de l’autre enfant cet étrange bébé et l’avait fixé de ses grands yeux clairs. Il fut alors décidé qu’il se prénommerait Silas, puisqu’il avait été trouvé près de la forêt au nord de Venise et qu’aucun des gamins ici présents ne devaient parler de cet étrange bébé aux oreilles de loup…

Un garçon rit au loin.

- Silas, Silas, attends moi !


Mais le garçon aux longs cheveux argentés n’écoutait pas la voix de la jeune femme qui lui courait après. Il avait bien grandit le petit louveteau…
A présent, il avait environ 15 ans, et la jeune femme qui lui courait après n’était autre que Lydia, celle qui lui avait donné son prénom… Elle avait à présent une trentaine d’année mais son visage transfiguré par la vie dans la rue la faisait paraître comme une veille femme fatiguée. Il y avait bien longtemps qu’elle ne pouvait plus courir aussi vite que ceux qui furent jadis ses camarades de ruelles.
De la bande de gosses des rues qui avaient recueillit Silas, il ne restait plus qu’elle… Les autres étaient morts, de maladie, de famine ou bien avait un jour disparu sans laisser de trace… C’était ainsi de vivre dans la rue, c’était le sort de tout enfant qui n’avait plus de famille, qui avait été livré à lui-même… Et Lydia aurait put subir le même sort si elle ne s’était pas entichée de ce petit bébé aux oreilles de loup…
Les premiers temps avaient été durs, alors qu’ils avaient une bouche de plus à nourrir… Mais Silas avait survécu, en partit grâce aux bons soins de Lydia qui se débrouillait toujours pour trouver un peu de lait. Le chapardant parfois à même le pis de la chèvre, de la vache, qui était seule dans son champ sans personne à l’horizon. Et tout ses attention portèrent ses fruits lorsque, à à peine huit mois, alors qu’il commençait tout juste à gambader à quatre pattes, Silas maitrisait déjà sa transformation en loup. Comme il était mignon ce petit louveteau tout blanc, avec ses grands yeux dorés et sa queue en panache… Il faisait rire tout le monde avec ses pitreries et attendrissait tous les enfants lorsque, s’étant cogné, il reprenait sa forme humaine, éclatant en sanglots… Ses oreilles de loup avait disparues une semaine après son arrivée parmi les enfants, mais ses sens lupins avaient rapidement gagné en force.
Lorsqu’il se mettait à grogner, que se soit dans sa forme humaine ou animale, les autres enfants avaient vite comprit qu’il leur fallait fuir… C’est ce qui sauva à plusieurs reprise Lydia qui ne se séparait plus de Silas, faisant office de mère… Le premier mot que prononça Silas fut d’ailleurs « mama », appelant Lydia. Mais elle n’était pas sa vraie mère et il le savait.
Du haut de ses quinze années passées dans les rues, il avait plutôt fière allure… Et sa mission première était de protéger Lydia, prenant l’apparence d’un grand, si ce n’est qu’un peu fin, loup blanc aux crocs acérés… Il donnerait sa vie pour protéger Lydia même si en cet instant, alors qu’il vient de chaparder une miche de pain, il n’a qu’une seule envie : s’enfuir loin de Lydia pour la déguster tranquillement tout seul… Et c’est évidement sans compter la main qui l’arrête dans sa course en le saisissant par le poignet et qui l’embarque dans un fiacre sans qu’il n’ait put dire mot.

- Silaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaas !
hurle Lydia au loin

Mais Silas ne l’entend déjà plus… Un mouchoir imbibé d’un produit agissant comme un somnifère a été plaqué sous son nez. Il s’est donc endormit avant d’avoir eut le temps de réaliser quoi que se soit… Lorsqu’il se réveille, il a mal au crâne et ne peut faire un geste alors qu’on l’a enchaîné dans un lit aux draps de soie. Face à lui, assit dans un fauteuil de la plus belle manufacture se tient un homme qui n’a rien de bienveillant.

- Tu te réveille enfin bel enfant… susurre-t-il d’une voix de serpent J’ai tant attendu ce moment…

D’un bon, l’homme est sur le lit, à califourchon sur le corps pâle et nu de Silas, répandant son infâme odeur dans les narines sensibles du lycan. Silas en fronce le nez et les sourcils.

- Tu es si beau… fit l’homme tout en posant sa bouche visqueuse le long du cou du jeune homme qui ne peut bouger Dès la première fois où je t’ai vu, j’ai eut envie de te faire mien… continuait-il tout en promenant ses lèvres humides sur le corps de Silas

Cette nuit là, Silas se fit violer par cet homme qu’il n’avait jamais vu auparavant.
Sachant qu’il ne pouvait se libérer et que prendre sa forme lupine ne ferait que le mener à sa perte, il s’était laissé faire et, étrangement, cet homme lui avait autant donné du plaisir qu’il l’avait dégouté.
Cette nuit là, Silas sut comment vivre à présent alors que, lorsque l’homme se fut endormit, affalé sur lui, son sexe encore enfouit dans ses entrailles, il avait prit sa forme de loup et l’avait férocement mordu à la gorge. Le laissant mourir dans ses draps de soie alors qu’il s’était mit à galoper à travers les rues de Venise…

Un jeune homme minaude au loin.
- Bien le bonsoir Monseigneur… N’auriez-vous pas besoin d’un mignon jouvenceau pour vous tenir compagnie ce soir ?
- Ecarte-toi de mon chemin coquin !


Un sourire moqueur aux lèvres, Silas se laissa repousser par l’homme qu’il venait d’aborder, le regardant s’enfuir à grands pas. Il n’était pas le premier à le repousser et ne serait certainement pas le dernier mais, en attendant, ça n’était pas une grande perte… Un autre homme venait d’entrer dans le champ de vision du jeune homme et celui-ci semblait bien plus riche que le premier…
Depuis cette nuit chez cet homme qu’il ne connaissait pas, Silas avait parcourut tout Venise à la recherche de Lydia. Mais il ne l’avait pas retrouvée. Même dans la cave où ils continuaient de se réfugier, elle n’y était pas… Peut-être avait-elle été enlevée elle aussi ? Et qu’elle n’avait pas put s’enfuir… Dans tous les cas, depuis ce jour là, Silas, du haut de ses quinze ans avait du se débrouiller seul. Et il avait alors commencé à vendre son corps pour quelques florins…
Il avait rencontré toute sorte d’hommes, toutes sortes d’amants… Des bons, des mauvais. Des qui l’ont fait gueuler de plaisir et d’autres qui l’ont fait s’endormir d’ennui. Certains avaient voulu faire de lui leur amant cachés, Silas avait bien rapidement coupé les ponts, ne voulant pas qu’on lui ôte sa liberté…
Il avait gouté au luxe des draps de soie et somptueuses chambres de villa, à la dureté des matelas de paille des hôtels miteux… Le plaisir de se glisser dans une chemise en cachemire et l’horreur de se faire prendre contre un mur de briques rugueuses qui lui avait laissé des marques sur le dos pendant plusieurs mois. Bien évidement, il préférait de loin les draps de soie et les chemises de cachemire… Aussi, se mit-il à choisir ses clients. A présent, il les jugeait des pieds à la tête, leur allure, leurs vêtements, leur façon de parler, de se mouvoir… Et puis, lorsqu’il en trouvait un aussi bon amant que friqué, il se débrouillait pour lui donner envie de le revoir, et ainsi se faire un petit carnet d’adresse…
Bien vite, il fut connu à travers toute la ville. Pour ses prouesses sexuelles certes, mais aussi pour son entrain, pour sa soif d’apprendre toujours plus de choses, tant sur le plan sexuel que culturel. Il était un jeune homme aussi beau que doux, parfois sauvage, il s’acclimatait à tous et avait toujours une oreille attentive… Ses beaux yeux brillants étaient presque devenus légendaires lorsque, après l’acte, il aimait s’allonger près de son amant et l’écouter parler… Parfois, il se faisait jeter rapidement à la porte, la bourse pleine mais en général, il restait un peu plus longtemps… Ses prix étaient plutôt fixes et, même s’il préférait les hommes aussi friqués que beaux et bons amants, il ne refusait pas ses charmes à ceux qui semblaient plus avoir besoin d’une oreille attentive et d’un peu de réconfort qu’une véritable nuit de luxure… Enfin, il restait toujours autant naïf mais, depuis son enlèvement, il ne s’était jamais plus retrouver dans pareilles situation… A croire qu’être gentil jouait en sa faveur.
L'argent qu'il gagne ? Il le dépense en vêtements, en bijoux... Il n'a pas vraiment de chez lui, ses fringues s'entassent dans la cave qu'il n'a pas réussit à quitter... Bien qu'il dorme chez ses amants la plus part du temps. S'il lui reste quelques piécettes, il aime à faire comme s'il était un généreux fils d'aristocrate, se baladant à travers Venise, pavanant dans ses beau habits et jetant sans un regard quelques florins aux mendiants...

Petit loup des bois, protège bien tes arrières.

~o~ Petits Plus ~o~

Votre présence sera :
régulière
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Autres forums fréquentés ? Avec City (mon bébé <3) le 69 et Reservoir Dog


Dernière édition par Silas le Lun 5 Avr - 20:18, édité 1 fois
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Valérian Elviro
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Silas - Loup des bois ~ Vide
MessageSujet: Re: Silas - Loup des bois ~   Silas - Loup des bois ~ EmptyLun 5 Avr - 19:40

Validée !!!! Excellente fiche, j'ai adoré la lire ^^
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Silas - Loup des bois ~ Vide
MessageSujet: Re: Silas - Loup des bois ~   Silas - Loup des bois ~ EmptyLun 5 Avr - 20:12

m



Bah pourtant j'ai mis un temps fou à la faire !
Surtout l'histoire... FIOUF xD
Merci ma Choupinette ! <3
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MessageSujet: Re: Silas - Loup des bois ~   Silas - Loup des bois ~ Empty

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