Venise la Magnifique
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 Balthazar - Shape Shifter

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Balthazar Shape-Shifter
Schiavo Scappato
Schiavo Scappato
Balthazar Shape-Shifter

Messages : 24


Balthazar - Shape Shifter Vide
MessageSujet: Balthazar - Shape Shifter   Balthazar - Shape Shifter EmptyVen 12 Fév - 14:25

~o~ Feuille d'Identité ~o~

Nom : - pas de nom, Shape Shifter est en quelque sorte le titre qu’il s’attribue – il s’appelait Shawnee dans sa tribu.
Prénom : Balthazar (attribué par sa maîtresse.)
Age : 17 ans
Race : lycan
Pays d'origine : les Indes occidentales
Rang social : esclave en fuite
Profession : chasseur

~o~ Physique ~o~

Allure : Adolescent, encore en train de grandir, il se considère comme un adulte depuis son enlèvement, une épreuve initiatique destinée à faire de lui un grand chef renommé lorsqu’il aura fini de traverser ces épreuves. Facilement mis en colère ou révolté, il a appris à l’exprimer avec des fleurs au contact de la noblesse. Trop de fleurs parfois, mais mieux vaut le prendre au sérieux sous son vernis de bonnes manières. Sa voix se brise quand il crie, et s’il perd vraiment le contrôle, laisse passer les grondements sourds de l’animal au-dessous. Il connaît les lois de l’escrime, mais se bat volontiers aux poings, n’importe comment, avec la même vivacité qu’il met dans sa pratique des instruments à cordes.
Goûts vestimentaires : Il aimait particulièrement la fourrure, signe de noblesse et de courage à la chasse, dans son jeune âge, mais avait l’habitude d’une relative nudité. Depuis son arrivée dans l’Ancien Monde, il a porté les plus fines tenues de soie, s’est enfermé dans des corsets, a appris à disposer les aiguillettes et les perles ; mais désormais, il est revenu à un mode vestimentaire minimal, utilitaire, visant surtout à se camoufler et à pouvoir combattre sans être gêné, ni par l’épaisseur du tissu, ni par le froid. En revanche, il adore se procurer de jolies tenues, robes et rubans, pour en revêtir sa petite protégée.
Particularités : il parle le Muskogee, naturellement, mais aussi l’anglais. L’italien n’est que sa troisième langue et même s’il la pratique tous les jours, il garde un accent prononcé et parfois un style un peu étrange. C’est sans doute pourquoi il ne parle que lorsqu’il est en confiance, ou au contraire, lorsque la réaction de la personne en face n’a plus d’importance.

Pour les lycans : sous sa forme de loup, les forces magiques et les anciens rituels des shamans ayant existé parmi ses ancêtres, les pactes avec la nature passés depuis des milliers d’années, à des milliers de kilomètres, l’investissent de leur puissance. Son apparence s’en trouve transformée. Non seulement il devient un imposant loup fauve, sorte de renard férocement hypertrophié, qui se déplace à la manière d’un homme, mais il acquiert une aura barbare et sacrée, primitive et primordiale, qui rend son jeune âge impossible à déterminer, et sa voix semble contenir plusieurs voix, dont certaines relativement hypnotiques. Le passage d’un monde dans l’autre est pour lui presque une cérémonie. Avant chaque pleine Lune, il endosse les talismans de son culte et prie jusqu’à sa transformation. Son caractère lui aussi est quelque peu altéré, sans doute autant par l’auto-persuasion résultant de ses prières que par le changement physique en lui-même. Il devient plus serein mais aussi plus détaché quant au fait de donner la mort. Une chose ne change pas, il ferait n'importe quoi pour défendre sa petite protégée. Elle l'accompagne parfois dans ses courses, lorsqu'une trop grande célérité n'est pas nécessaire. Il lui arrive aussi d'avoir d'étranges crises lors de ces transformations, dans lesquelles il entend des voix s'adresser à lui dans d'anciens langages qu'il ne comprend qu'à demi : il considère sincèrement que ce sont les voix de ses ancêtres.

Spoiler:

~o~ Psychologie ~o~

Caractère : Certain que les démons sont des monstres qui ne méritent pas sa compassion, il a la même opinion des garous, et ne fréquente personne. Il n’a que rancune envers son propre clan, même s’il se doit de vivre sous leur protection et de la gagner. Il craint également de revoir les personnes qui vivaient avec lui lorsqu’il était esclave, et évite le voisinage de la ‘’Grande Maison’’ comme la peste. Certains pourraient s’en prendre à lui, d’autres lui rappeler sa condition, et celui avec lequel il était à peu près parvenu à s’entendre serait sans doute déçu de le voir tombé dans le statut de bête féroce errante.
Aime : Son rêve le plus basique est d’avoir le ventre plein de manière assurée. Il se débrouille également pour emmener Donna, une petite fille dont il a la garde, à la campagne pour quelques journées tranquilles dès qu’il en a l’occasion. Il lui apprend à aimer la nature et à ne pas trop compter sur les hommes. Il aime enfin nourrir l’espoir qu’un jour il pourra regagner sa terre natale et revoir sa famille, mais auparavant il lui faudrait être débarrassé de son actuelle malédiction.
Aime pas : Il redoute qu’on le marie à une Italienne, depuis qu’il a compris à quel point les mariages à Venise étaient une affaire de politique, entre diplomatie et finances, orchestrée par les supérieurs des mariés. Il ne déteste tant ses semblables ainsi que les démons, que parce qu’il craint d’être placé en position de faiblesse par rapport à leurs terrifiants pouvoirs. Il a horreur d’être exposé aux regards, principalement lorsqu’il décèle une ombre de moquerie, ne serait-ce que dans un seul de ces regards.
Tics ou petites manies : Il a eu une formation de page dans une grande maison aristocratique. Il a été accoutumé à certain luxe, même si sa fonction n’était pas de s’y prélasser. Il lui arrive de revenir à ses réflexes, en se montrant un peu trop courtois ou exigeant selon la compagnie environnante.
Secrets qu'il dissimule : Ce n’est pas vraiment un secret, mais il n’en parle pas. En rêve, il voit souvent son meilleur ami d’enfance, debout au bord du rivage, qui attend son retour.

~o~ Histoire ~o~

Premier Jour.

Le fou en chapeau à plumes ôta son extravagante coiffure et salua très bas la dame-papillon. Elle abaissa son masque pour le saluer, mais son visage ne semblait pas plus naturel, sous ses cheveux d’acier aussi lisses que l’eau de la rivière, que la coquille de couleurs dont elle s’était prétendûment débarrassée. Le fou lui désigna le jeune garçon à l’air revêche qui la fixait intensément, presque haineusement, sous une forêt de cheveux noirs, et se mit à parler à une vitesse impressionnante. Le gamin fronça un peu plus les sourcils : il ne comprenait rien. Ce n’était pas cette langue-là que l’homme avait parlée avec lui depuis qu’il l’avait arraché à son village ; ce n’était pas celle qu’il parlait avec les hommes de la grande pirogue.

Derrière la femme se tenaient deux personnes : un jeune homme et une jeune fille. Cette dernière était la fille de la dame-papillon, il le sentit immédiatement. Elle avait le même teint rosé, le même port altier, les mêmes cils transparents, la même moue supérieure. Elles semblaient avoir été peintes par le même potier sur la même poterie. La jeune fille n’était pas beaucoup plus âgée que lui, et il se risqua à lui sourire. Alors, l’homme qui se tenait auprès d’elle fit flamboyer ses yeux. Le gamin rentra la tête dans les épaules.

C’était un homme qui sert, il en avait déjà vus à bord de la pirogue, il y en avait quelques-uns. Il avait pourtant l’air d’un roi lui aussi, et un visage de chocolat, qui donnait envie au gamin de l’aimer, mais il ne semblait pas d’accord. Il se tint toute la soirée debout derrière le siège de la jeune fille, sans prononcer un mot, en la couvant, elle, d’un regard protecteur, et lui, d’un regard flamboyant, tandis que le fou racontait à la grande dame les aventures qu’il avait connues à bord de la pirogue, comment il avait volé le gamin aux abords de son village, et d’autres choses qui n’avaient pas de sens.

Le soir, l’homme qui sert amena le gamin dans les pièces tout au sommet de la Grande Maison. Il lui parla heureusement dans la langue de la pirogue, et lui expliqua, un peu radouci à présent que la jeune fille n’était plus là, que ce serait désormais sa maison. Lui-même avait été volé dans un village de l’autre côté de la Terre pour être apporté à cette dame, lorsqu’il était enfant ; elle l’avait appelé Melchior, et il servait sa fille, la protégeait lorsqu’elle sortait dans la foule, lui servait à boire lors des dîners, promenait ses chiens et tenait la bride de son cheval, et tournait les pages de son cahier lorsqu’elle jouait du clavecin. Le gamin comprit que cet homme en était amoureux, et ne pouvait pas la demander en mariage. Une grande tristesse envahit son cœur.

Melchior lui apprit aussi que la grande dame l’avait nommé Balthazar, et que désormais tout le monde l’appellerait ainsi. Elle interdisait également que l’on quitte l’enceinte du domaine lors des nuits de pleine lune ; c’était un caprice qu’il fallait respecter.

Première Nuit.

Les années avaient passé. Balthazar était le plus joli page qu’on eût pu rêver, et tournait les têtes des amies de la grande dame, ce qui ne lui plaisait guère. Il calquait sa politesse et la subtilité de son langage, comme il le pouvait, sur les dons équivalents que montraient les aristocrates de la maison. Il se disait que Melchior était sage et que s’il voulait s’en sortir un jour il ferait mieux de l’imiter. Mais Melchior n’était pas sage. Il avait séduit sa jeune compagne, et entrait chez elle à la nuit tombée, au lieu de garder le seuil de la porte comme il en avait l’ordre. Elle désespérait de ne pouvoir lui offrir sa vie, et c’est pourtant ce qu’elle fit. Un soir, après une immense agitation à laquelle Balthazar, fatigué par une journée de travail, était indifférent, Melchior vint dans la mansarde de son jeune camarade, le visage baigné de larmes.

Sa fiancée secrète avait donné naissance à un petit enfant noir, s’était évanouie, et ne se réveillerait plus. La Donna Riccio, la grande dame, était à son chevet et jurait de le faire pendre, mais surtout elle avait résolu de donner l’enfant, une petite fille, à un couvent austère dont sa sœur était la mère supérieure. Cette dernière était auprès d’elle et allait emporter l’enfant pour toujours… C’était un endroit horrible où une enfant ne survivrait pas, et Melchior voulait la garder auprès de lui, l’élever, et non sauver son âme. Il ne serait sans doute pas libre de ses mouvements dans les jours à venir, mais… Balthazar accepta. Il apprit par cœur le plan des quartiers de la ville, et le soir même, se cacha sous le carrosse de la mère supérieure qui repartait en direction du couvent, avec son petit paquet indigne des yeux du monde. Il avait emporté les talismans conservés depuis le jour de son enlèvement, sans vraiment savoir pourquoi ; peut-être parce que c’était une nuit de pleine lune…

Les chevaux renâclèrent à passer le pont au-dessus du canal. Quelque chose les effrayait. D’où il était, Balthazar ne pouvait rien voir, mais il entendit soudain le cocher hurler, et distingua le mouvement de ce quelque chose qui se jetait à la gorge d’un cheval, puis l’abandonnait dans une mare de sang, le carrosse immobilisé par sa masse inerte. Le cocher s’effondra comme une masse à côté des roues, son regard mort fixé sur le jeune page terrifié. Une lacération monstrueuse traversait sa poitrine. La femme dans le carrosse appelait à l’aide, et la chose perchée sur le carrosse arracha soudain une portière. Balthazar poussa un cri de guerre et sortit de sa cachette, son coutelas d’enfant à la main, prêt à défendre la fille de son ami au péril de sa vie, sans vraiment savoir pourquoi. La bête était déjà à demi engagée dans l’habitacle, dont pendait une main blafarde, et les hurlements du bébé retentissaient à l’intérieur ; sans attendre qu’on daigne faire attention à lui, Balthazar planta son arme jusqu’à la garde dans le dos massif du monstre, qui lui donnait l’impression d’être un ours.

La bête se retourna vers lui et saisit son bras entre ses mâchoires, celles d’un loup gigantesque, avant de le secouer avec une force terrible. Brusquement, elle s’arrêta et le lâcha ; il tomba à terre lourdement, et s’aperçut que le regard fixé sur lui était celui d’un homme. La douleur de son bras n’était rien à côté de ce qu’il ressentait à contempler un être aussi étrange, un mélange de peur et de fascination, et l’impression de retrouver une vieille connaissance, un être présent dans les légendes qu’il n’avait plus entendues depuis bien longtemps. Ce devait être un shaman, un shape-shifter comme il le traduisait pour le fou à la pirogue –le capitaine Desmond MacDiarmaid-, lorsqu’il essayait encore de lui faire comprendre le monde d’où il venait. A tout hasard, il lui adressa un geste de paix, et une phrase en Muskogee : ramène-moi chez les miens… La bête se détourna et disparut. Mais il n’avait pas fait là un horrible cauchemar : l’enfant pleurait toujours.

Malédiction.

Qu’est-ce qu’il faisait là ? Une question qu’on lui posait souvent. La réponse était simple, il était venu contre son gré, et il restait contre son gré. Et elle, qu’est-ce qu’elle faisait là ? Une petite fille noire estropiée d’une main, âgée de deux ans à peine. Qu’est-ce qu’on pouvait faire de ça dans la meute ? Même lorsqu’elle se transformait, elle n’était qu’une petite louve boiteuse. La réponse était aussi très simple : elle était sous sa protection. Et lui était sous la protection du clan, une protection qu’il gagnait à la pointe de son couteau et à la force de ses crocs. Ils n’avaient pas le choix.

On lui avait rendu son couteau à son arrivée, lorsqu’il s’était présenté comme volontaire pour servir les rangs de cette honorable meute. Celui qui l’avait fait, celui dont les yeux le hantaient depuis cette nuit-là, était celui d’entre tous ses semblables que Balthazar haïssait le plus. Néanmoins, son geste avait semblé peser aux yeux des autres. Lui aussi avait reconnu quelque chose chez ce jeune guerrier, un potentiel peut-être, ou juste une réminiscence lointaine et confuse comme l'appel de la forêt, mais tout aussi puissante. Il ne lui en parla jamais en termes clairs, Balthazar étant peu disposé à la conversation, et ce n'est là qu'une supposition de sa part, basée sur le fait qu'il l'avait épargné la nuit de leur rencontre, puis qu'il était revenu errer sous sa forme humaine non loin de l'endroit où Balthazar tentait de faire soigner la petite, un hôpital des pauvres plus pouilleux encore que la rue elle-même. Il l'avait dévisagé depuis la rue, et Balthazar l'avait reconnu instantanément. Ces yeux... Il avait obéi à l'impulsion de ses sens, qui lui semblaient soudain décuplés, et l'avait suivi jusqu'en un refuge hanté d'êtres aux yeux comparables, plus intenses, plus dorés que ceux des simples humains. Ou peut-être était-ce simplement ce que le jeune homme avait ressenti. Ce que le shaman vénitien avait souhaité qu'il ressente.

Toujours est-il qu'il avait parlé en sa faveur, et en lui rendant son arme devant les autres, avait soutenu son entrée dans la meute. A un rang mineur pour commencer ; il n'était pas admis dans les projets communs, on lui arrachait parfois le produit de sa chasse, et toutes les occasions étaient bonnes pour éprouver sa résistance. Bien que certain de vouloir rester et s'intégrer dans cet ensemble sauvage, il n'hésitait jamais une seconde à rosser et à faire souffrir un autre lycan, et ne reculait pas même devant les plus forts ; même en sachant qu'il n'avait pas une chance. Il comprenait parfaitement que ce n'étaient que des jeux de domination, et qu'on ne lui ouvrirait pas réellement la gorge. De côtes cassées en yeux pochés, de balafres en humiliations, il s'accrocha sans céder un pouce de terrain, et finit par gagner un respect prudent.

En deux ans, finalement les choses changèrent assez vite. On lui demandait encore parfois ce qu'il faisait là, c'est vrai. Tant qu'il serait sous l'emprise de cette malédiction, et forcé d'habiter cette cité, ce serait sans doute le cas. Il était toujours aussi colérique en surface, mais fondamentalement il était résigné ; ce n'était pas encore ce que ses parents auraient appelé un Sage, loin de là, mais un guerrier, certainement. Et les autres de la meute le savaient aussi, on le harcelait moins, on l'envoyait davantage s'en prendre à des personnes de plus en plus cruciales. Plus le temps passait, et plus il redoutait une chose : rencontrer à nouveau Melchior, et devoir lui dire dans quelle vie il avait entraîné sa petite Donna, à quel prix il assurait sa sécurité de chaque jours... et affronter le regard et les questions de celle-ci, lorsqu'elle saurait parler.

~o~ Petits Plus ~o~

Votre présence sera : régulière, ce qui n’implique pas que je posterai à chaque passage, faut pas exagérer ^^’
Que pensez-vous du forum ? un partenaire digne de ce nom ;)
Autres forums fréquentés ? Sounan’Sha bien sûr, venez nombreux XD

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Adonis Bastão

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MessageSujet: Re: Balthazar - Shape Shifter   Balthazar - Shape Shifter EmptyVen 12 Fév - 16:55

Alors, j'ai lu ta fiche mais je ne te valide quand même pas !
En effet, tu n'a pas fait ta demande de rang et encore moins envoyé de MP à moi ou ma collègue pour demander le perso prédéfinit !
Fait tout ça et après tu sera validé...
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Valérian Elviro
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Valérian Elviro

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MessageSujet: Re: Balthazar - Shape Shifter   Balthazar - Shape Shifter EmptySam 13 Fév - 11:09

EXCELLENT !!! Balthazar - Shape Shifter 143605 Balthazar - Shape Shifter 143605

Tu as parfaitement intégré tout ce que je t'avais dit, ce qui rend ton personnage encore plus passionnant ! (bon en tout cas moi, j'en suis amoureuse, j'adore les petits loups rebelles lol).

Fiche validée avec mes félicitations, bienvenu sur Venise et bonne chasse ! Balthazar - Shape Shifter 68339
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Schiavo Scappato
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MessageSujet: Re: Balthazar - Shape Shifter   Balthazar - Shape Shifter EmptySam 13 Fév - 12:11

Bonne chasse, mon Frère, et bonne chasse Vous de la Jungle . (Ben quoi Venise c'est la jungle u__u) Mais je t'en ficherai moi du petit loup rebelle ^^

Merciiii, sans tes conseils j'y serais pas arrivé Balthazar - Shape Shifter 143605
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MessageSujet: Re: Balthazar - Shape Shifter   Balthazar - Shape Shifter Empty

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